Ledikeni (ẩm thực Ấn Độ) : Le Ledikeni (bengali : লেডিকেনি ou Lady Kenny) est un kẹo Ấn Độ phổ biến du tây bengaltrong Inde. Đó là về một boule ngọt brun rougeâtre légèrement chiên làm bằng chhena et de bột et ướt sũng trong xi rô đường. các kẹo Ledikeni doit son nom à Lady Canning, épouse de Charles Canning, gouverneur général de l’Inde en 1856-1862.
Lịch sử: kẹo được sinh ra tại Calcutta au milieu du 19ème siècle. Il existe diverses légendes concernant l’origine du kẹo. Selon la légende la plus phổ biếnMột đãi đặc biệt a été préparée par Bhim Chandra Nag en l’honneur de Lady Canning à un moment donné pendant son séjour en Inde de 1856 jusqu’à sa mort en 1861. Dans certaines versions du conte, la đãi a été préparé pour commémorer sa visite en Inde en 1856, alors que dans d’autres versions, il a été préparé à l’occasion de son anniversaire. Certaines variantes du conte déclarent que c’est devenu son dessert préféré, qu’elle exigerait à chaque occasion. Selon encore une autre légende, le kẹo était préparé par les bánh kẹo de Baharampur en 1857, après la mutinerie, pour commémorer la visite de Canning et de sa femme.
Lady Canning est décédée en 1861. Depuis lors, la đãi a acquis une immense popularité au Bengale. Aucun grand tiệc n’était considéré comme complet si le dessert n’était pas offert à l’invité.
Le fabricant aurait gagné beaucoup d’argent en vendant la đãi bien que certains aient affirmé que sa popularité était due au nom plutôt qu’au thị hiếu.
Comme il gagnait en popularité, la đãi est devenue connue sous le nom de " Lady Canning " qui s’est progressivement corrompue en "ledikeni".
Un kẹo très similaire au pantua et au ledikeni modernes, mais fait de Bột gạo, est mentionné dans le texte Manasollasa (*) en sanskrit datant du 12ème siècle.
(*) Le Mānasollāsa, également connu sous le nom d’ Abhilashitartha Chintamani , est un texte sanskrit du début du XIIe siècle composé par le roi Kalyani Chalukya Someshvara III , qui régna sur l’actuelle Inde du Sud . Il s’agit d’un ouvrage encyclopédique couvrant des sujets tels que la politique, la gouvernance, l’éthique, l’économie, l’astronomie, l’astrologie, la rhétorique, la médecine vétérinaire, l’horticulture, les parfums, l’alimentation, l’architecture, les sports, la peinture, la poésie et la musique. Le texte est une source précieuse d’informations socioculturelles sur l’Inde des XIe et XIIe siècles.