Các loài khác nhau của cá đuối gai độc : Il existe trente-cinq espèces dont dix-huit consommées, tout spécialement la raie lisse, la raie fleurie et la réputée raie bouclée.
Les espèces de raie qui se reconnaissent facilement à leur aspect extérieur :
– La raie bouclée (de 70 cm à 1,20 m), la plus connue et la plus savoureuse du littoral européen, est marbrée de taches claires ; elle doit son nom aux tubercules cartilagineux, en forme de boucles, disséminés sur le dos, les ailes, parfois le ventre.
– La raie fleurie (1 m au maximum) porte deux taches en forme de fleur sur les ailes.
– La raie ponctuée est marquée de gros points noirs s’estompant vers les bords.
– La raie pocheteau, noire ou grise, au museau pointu (pouvant dépasser 2 m et peser plus de 100 kg), et les raies chardon (ou chagrine), cendrée, fleurie et douce, sont assez bonnes.
– La raie manta océanique (ou simplement raie manta), diable des mers ou raie manta géante (mobula birostris, anciennement Manta birostris) est la plus tuyệt vời des raies. Elle peut atteindre de six à huit mètres d’envergure et deux tonnes ; mais elle est généralement un peu plus nhỏ, avec une envergure moyenne entre trois et six mètres.
Son surnom diable des mers provient des deux sừng qu’elle a à l’entrée de sa gueule. Deux appendices qui lui servent à canaliser le sinh vật phù duCủa ông độc đáo thức ăn.
On trouve encore, bien qu’elles soient nettement moins savoureuses, les raies, capucin, brunette, mêlée ; quant aux raies pastenague, nourine, torpille, aigle et chimère, elles sont tout juste comestibles.
Au Canada, les deux espèces les meilleures sont la raie épineuse (1,20 m), que l’on pêche à l’ouest du Groenland, dans la baie d’Hudson et dans les provinces maritimes, et la raie lisse, plus petite, qui fréquente l’estuaire du Saint-Laurent.
Les espèces de raies menacées : Les raies, à durée de vie longue et à la reproduction lente, sont très sensibles à la pression humaine. Les derniers rapports de l’IUCN sont alarmants : 26 % de ces espèces friseraient l’extinction dans l’Atlantique Nord, contre 42 % en Méditerranée, considérée comme la mer la plus dangereuse au monde pour cette faune, notamment pour la mante géante et la raie de Malte. Au banc des accusés : la surpêche, qu’elle soit accidentelle ou ciblée. À l’échelle internationale, la législation limitant la capture de ces poissons est quasi inexistante.
Les ailes de raies sont consommées par l’Homme. La pêche au chalut, la surpêche, la pollution marine, la pêche électrique (interdite en Europe car ayant montré des effets négatifs sur les raies) la menacent.
La raie dans la culture : L’une des plus célèbres est celle de Jean Siméon Chardin (1699-1779), dans un tableau de 1728 (musée du Louvre) où la raie est représentée dans une nature morte, suspendue à un crochet.
Chaïm Soutine (1893-1943) a repris la même thématique dans plusieurs tableaux en 1920 (Musée Calvet à Avignon) et vers 1924 (Perls galleries à New-York).
James Ensor (1860-1949) reprend ce thème dans un tableau de 1892.